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Collection Gustave Doré

Collection

Contenus

• Ch. VIII, v. 29-30 : L'antique proue s'en alla, creusant dans l'eau un sillon plus profond que de coutume. : [estampe]

  1861

• [Planche de : Doré, Gustave, "Les travaux d'Hercule"] : [estampe]

  1847

• Ch. VII, v. 8-9 : "Tais-toi, lui dit-il, loup maudit, consume-toi en toi-même et dévore ta rage." : [estampe]

  1861

• [Planche de : Doré, Gustave, "Les travaux d'Hercule"] : [estampe]

  1847

• [Planche de : Doré, Gustave, "Les travaux d'Hercule"] : [estampe]

  1847

• Ch. XXXII, v. 130-132 : De même que Thydée rongea, dans sa rage, les temps de Ménalippe, de même il lui dévorait le crâne et lui rongeait la cervelle. : [estampe]

  1861

• Ch. V, v. 31-32 : L'ouragan infernal, qui ne s'arrête jamais, entraîne les esprits dans son tourbillon. : [estampe]

  1861

• Ch. XXXIV, v. 133-136 : Mon guide et moi nous entrâmes dans ce sentier caché pour retourner au monde lumineux. : [estampe]

  1861

• Ch. XVIII, v. 133-135 : C'est Thais la prostituée, qui répondit à ces mots de son amant : "Ne me dois-tu pas de grandes grâces ?" - "Oh oui, de merveilleuses !" : [estampe]

  1861

• [Planche de : Doré, Gustave, "Les travaux d'Hercule"] : [estampe]

  1847

• Ch. VII, v. 64-66 : Tout l'or qui est ou qui fut jamais sous la lune ne pourrait donner un moment de repos à une seule de ces âmes fatiguées. : [estampe]

  1861

• Ch. XIX, v. 49-50 : J'étais comme le moine écoutant la confession du perfide assassin. : [estampe]

  1861

• Ch. VI, v. 49-52 : Et lui : "Ta ville, qui est si pleine d'envie que le sac en déborde, fut ma demeure aux jours sereins de la vie. Vous, concitoyens, vous m'appelâtes Ciacco". : [estampe]

  1861

• Ch. I, v. 136 : Alors il se mit en marche, et je le suivis. : [estampe]

  1861

• Ch. XXXI, v. 91-93 : Ce téméraire a voulu mesurer sa puissance contre le souverain Jupiter, dit mon guide. : [estampe]

  1861

• La vie et les oeuvres de Gustave Doré, d'après les souvenirs de sa famille, de ses amis et de l'auteur

  1887

• Ch. XII, v. 61-62 : Un des trois cria de loin : "A quel supplice allez-vous, vous qui descendez la côte." : [estampe]

  1861

• Ch. XXXII, v. 19 : J'entendis qu'on me disait : "Prends garde où tu marches." : [estampe]

  1861

• Ch. XVIII, v. 118-119 : Il s'écria : "Pourquoi es-tu si avide de me regarder plutôt que les autres immondes ?" : [estampe]

  1861

• [Planche de : Doré, Gustave, "Les travaux d'Hercule"] : [estampe]

  1847

• Ch. V, v. 142 : Et je tombai comme tombe un corps mort. : [estampe]

  1861